Résumé chronologique de 20 milles lieues sous les mers



«
C’est que cette bête-là, monsieur le professeur, est faite en tôle d’acier ! » « Le doute n’était pas possible ! L’animal, le monstre, le phénomène naturel qui avait intrigué le monde savant tout entier, bouleversé et fourvoyé l’imagination des marins des deux hémisphères, il fallait bien le reconnaître, c’était un phénomène plus étonnant encore, un phénomène de main d’homme. »  Le 7 novembre Le navire poursuit le monstre marin et finit par le harponner. Cependant, lorsqu'ils l'approchent pour le tuer, ils réalisent qu'il s'agit d'un sous-marin très avancé, le Nautilus, qui les attaque et les faits prisonniers. Ils se trouve à environ trois cent milles des côtes du japon.


« Je me sentis « involontairement » rassuré en sa présence, et j’augurai bien de notre entrevue. » Le 8 novembre, Aronnax devient ami avec le capitaine du Nautilus, le mystérieux et énigmatique Capitaine Nemo. Aronnax, Conseil et Land explorent le Nautilus et découvrent ses merveilles technologiques. Ils rencontrent également le capitaine Nemo, un homme énigmatique et solitaire, qui leur explique ses motivations pour vivre sous les eaux.




« Le capitaine Nemo invite monsieur le professeur Aronnax à une partie de chasse qui aura lieu demain matin dans ses forêts de l’île Crespo. Il espère que rien n’empêchera monsieur le professeur d’y assister, et il verra avec plaisir que ses compagnons se joignent à lui. » Le 16 novembre, le capitaine Nemo emmène Aronnax et ses compagnons faire une partie de chasse sous-marine dans les forêts de l’ile Crespo. Leurs positions étaient de 32°40’ de latitude nord et 167°50’ de longitude ouest.




« Le 26 novembre, à trois heures du matin le Nautilus franchit le tropique du Cancer par 172° de longitude. Le 27, il passa en vue des Sandwich, où l’illustre Cook trouva la mort, le 14 février 1779.  Nous avions alors fait quatre mille huit cent soixante lieues depuis notre point de départ. Le matin, lorsque j’arrivai sur la plate-forme, j’aperçus, à deux milles sous le vent, Haouaï, la plus considérable des sept îles qui forment cet archipel. » Le 26 novembre, le nautilus et son équipage dépasse le tropique du cancer en plein milieu de la nuit.


« La direction du Nautilus se maintint au sud-est. Il coupa l’Équateur, le 1er décembre, par 142° de longitude, et le 4 du même mois, après une rapide traversée que ne signala aucun incident, nous eûmes connaissance du groupe des Marquises. » Le 1 décembre, en traversant l’équateur l’équipage du nautilus ont connaissance des groupes de Marquises. Il ne se passe pas d’événements de grandes importances ici 




« Cependant, toujours entraînés par ce Nautilus, où nous vivions comme isolés, le 11 décembre, nous eûmes connaissance de l’archipel des Pomotou, ancien « groupe dangereux » de Bougainville, qui s’étend sur un espace de cinq cents lieues de l’est-sud-est à l’ouest-nord-ouest, entre 13°30’et 23°50’ de latitude sud, et 125°30’et 151°30’ de longitude ouest, depuis l’île Ducie jusqu’à l’île Lazareff. »  Le 11 décembrecette fois ils font la rencontre de l’archipel des Pomotou qui est un très grand archipel.





« Le 15 décembre, nous laissions dans l’est le séduisant archipel de la Société, et la gracieuse Taiti, la reine du Pacifique, J’aperçus le matin, quelques milles sous le vent, les sommets élevés de cette île. Ses eaux fournirent aux tables du bord d’excellents poissons, des maquereaux, des bonites, des albicores, et des variétés d’un serpent de mer nommé munérophis. » Le 15 décembre ils entrent dans les mers tahitiennes et par la suite ils découvrent l’archipel viti où habitaient des sauvages très dangereux. « Puis, il eut connaissance de l’archipel Viti, où les sauvages massacrèrent les matelots de l’Union et le capitaine Bureau, de Nantes, commandant l’Aimable-Joséphine. »





« Le 11 janvier, nous doublâmes ce cap Wessel, situé par 135° de longitude et 10° de latitude nord, qui forme la pointe est du golfe de Carpentarie. » Le cap Wessel fut dépassé le 11 janvier 1868 puis le 13 janvier ils ont pu voir l’ile de Timor mais d’un court instant. « Timor ne fut visible qu’un instant, à midi, pendant que le second relevait sa position. »

« Je reconnus immédiatement cette région merveilleuse dont, ce jour-là, le capitaine Nemo nous faisait les honneurs. C’était le royaume du corail. »  Le 19 janvier le nautilus entre dans ce qu’ils appellent ‘‘Le Royaume de corail’’.  Les aventuriers décrivent cet endroit comme un endroit magnifique. Aronnax en fait même des métaphore « Les corolles blanches rentraient dans leurs étuis rouges » ou des personnifications « les fleurs s’évanouissaient sous mes regards ».






Le 24 janvier Nemo et son navire arrivent au niveau de l’ile Keeling, une ile entre l’Australie et l’inde qui est déserte. « Le 24 au matin, par 12°5’ de latitude sud et 94°33’ de longitude, nous eûmes connaissance de l’île Keeling, soulèvement madréporique planté de magnifiques cocos, et qui fut visitée par M. Darwin et le capitaine Fitz-Roy. Le Nautilus prolongea à peu de distance les accores de cette île déserte. »





 « C’était une huître de dimension extraordinaire, une tridacne gigantesque, un bénitier qui eût contenu un lac d’eau sainte, une vasque dont la largeur dépassait deux mètres, et conséquemment plus grande que celle qui ornait le salon du Nautilus. » « Sa forme globuleuse, sa limpidité parfaite, son orient admirable en faisaient un bijou d’un inestimable prix. » Le 29 janvier les explorateurs trouvent dans les fonds marins au sud de l’inde une huitre d’une taille immense et qui avait à l’intérieur une perle d’une valeur inestimable.

Le 9 février le nautilus s’approcha des côtes arabes. Aronnax a pu voir Djeddah depuis leur position ils ont également vu les quartiers habités par les Bédouins. « Le soir même, par 21°30’ de latitude nord, le Nautilus, flottant à la surface de la mer, se rapprocha de la côte arabe. J’aperçus Djeddah, important comptoir de l’Égypte, de la Syrie, de la Turquie et des Indes. Je distinguai assez nettement l’ensemble de ses constructions, les navires amarrés le long des quais, et ceux que leur tirant d’eau obligeait à mouiller en rade. Le soleil, assez bas sur l’horizon, frappait en plein les maisons de la ville et faisait ressortir leur blancheur. En dehors, quelques cabanes de bois ou de roseaux indiquaient le quartier habité par les Bédouins. »





Le 10 février, une soudaine apparition de bateaux les pousse a reprendre la navigation sous-marine et lorsqu’il sont remonter a la surface plus aucun navires été apparent. « Le lendemain, 10 février, plusieurs navires apparurent qui couraient à contre-bord de nous. Le Nautilus reprit sa navigation sous-marine ; mais à midi, au moment du point, la mer étant déserte, il remonta jusqu’à sa ligne de flottaison. »


Le 11 février ils passent par un passage souterrain nommé « l’arabian tunnel » qui est en dessous de Suez et se fini a golfe de Péluse

« – Quoi ! il existerait un passage !

– Oui, un passage souterrain que j’ai nommé Arabian-Tunnel. Il prend au-dessous de Suez et aboutit au golfe de Péluse. »




« Le lendemain, 12 février, au lever du jour, le Nautilus remonta à la surface des flots. Je me précipitai sur la plate-forme. À trois milles dans le sud se dessinait la vague silhouette de Péluse. Un torrent nous avait portés d’une mer à l’autre. Mais ce tunnel, facile à descendre, devait être impraticable à remonter. » Le 12 février le nautilus rentre dans la méditerranée et direction l’archipel grec.




« Aussi, je n’eus connaissance de l’île de Carpathos, l’une des Sporades, que par ce vers de Virgile que le capitaine Nemo me cita, en posant son doigt sur un point du planisphère
Est in Carpathio Neptuni gurgite vates
Cœruleus Proteus…
C’était, en effet, l’antique séjour de Protée, le vieux pasteur des troupeaux de Neptune, maintenant l’île de Scarpanto, située entre Rhodes et la Crète. Je n’en vis que les soubassements granitiques à travers la vitre du salon ». Le lendemain ils vont la rencontre de l’île de Carpathos dans l’archipel grec.


Le 14 février le nautilus et son équipage participent à un vrai spectacle, ils ont la chance de pouvoir voir une éruption volcanique sous-marines mais ils n’ont pas pu y rester très longtemps en cause de très fortes chaleur. « – Près de l’île Santorin, monsieur le professeur, me répondit le capitaine, et précisément dans ce canal qui sépare Néa-Kamenni de Paléa-Kamenni. J’ai voulu vous donner le curieux spectacle d’une éruption sous-marine. »


Le 16 février ils quittent après tout ça l’archipel grec le nautilus passe alors au large de Cerigo. « La pensée me vint alors que si Ned Land avait choisi ces parages pour effectuer notre fuite, nous ne serions pas sortis vivants de cette mer de feu. Le lendemain, 16 février, nous quittions ce bassin qui, entre Rhodes et Alexandrie, compte des profondeurs de trois mille mètres, et le Nautilus passant au large de Cerigo, abandonnait l’archipel grec, après avoir doublé le cap Matapan. »





Le 18 février le nautilus fait son passage dans le détroit de Gibraltar en pleine nuit. « Partis le matin du 16 février des parages de la Grèce, le 18, au soleil levant, nous avions franchi le détroit de Gibraltar. »  « Cependant, le Nautilus, indifférent et rapide, courait à toute hélice au milieu de ces ruines. Le 18 février, vers trois heures du matin, il se présentait à l’entrée du détroit de Gibraltar. »





Le lendemain le 19 février, le nautilus et tout ses occupants vinrent pour la première fois une cité perdu dans les fonds marins, c’était l’Atlantide. « je vis que la position du Nautilus était indiquée par 16°17’ de longitude et 33°22’ de latitude, à cent cinquante lieues de la côte la plus rapprochée. Il n’y avait pas moyen de songer à fuir, et je laisse à penser quelles furent les colères du Canadien, quand je lui fis connaître notre situation. Puis, ramassant un morceau de pierre crayeuse, il s’avança vers un roc de basalte noire et traça ce seul mot :
ATLANTIDE »





Le 21 février l’équipage du Nautilus se trouver au niveau d’un volcans éteint entre l’Afrique et l’Amérique du Sud 

« Au centre même d’un volcan éteint, me répondit le capitaine, un volcan dont la mer a envahi l’intérieur à la suite de quelque convulsion du sol. »



Le 18 mars ils se trouvent au niveau du pôle sud, sur la banquise

« Enfin, le 18 mars, après vingt assauts inutiles, le Nautilus se vit définitivement enrayé. Ce n’étaient plus ni les streams, ni les palks, ni les ice-fields, mais une interminable et immobile barrière formée de montagnes soudées entre elles.
« La banquisew ! » me dit le Canadien. »





 

Le premier avril ils arrivent au niveau des côtes d’Amérique du Sud, après le froid glacial ils vont dans les eaux plus chaude et vont ensuite dans les îles d’Amérique comme la Guadeloupe.

«C’était la Terre du Feu, à laquelle les premiers navigateurs donnèrent ce nom en voyant les fumées nombreuses qui s’élevaient des huttes indigènes. Cette Terre du Feu forme une vaste agglomération d’îles qui s’étend sur trente lieues de long et quatre-vingts lieues de large »




Le 20 avril ils ont vu un poulpe s’attaquer à eux, elle poulpe était immense et le combat fut de grande intensité.

« Nous étions muets, le cœur palpitant, devant ce naufrage pris sur le fait, et, pour ainsi dire, photographié à sa dernière minute ! Et je voyais déjà s’avancer, l’œil en feu, d’énormes squales, attirés par cet appât de chair humaine !
Cependant le Nautilus, évoluant, tourna autour du navire submergé, et, un instant, je pus lire sur son tableau d’arrière »